Famille de La Forest Divonne

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Famille de La Forest
Image illustrative de l’article Famille de La Forest Divonne
Armes de la famille.

Blasonnement De sinople à la bande d'or chargée (frétée) de 4 sautoirs de gueules.
Devise Tout à travers.
Branches du Chatelard, d'Apremont, de Rian, de Somont, de Rumilly et de Divonne.
Période 1398 - à nos jours
Pays ou province d’origine Comté de Savoie
Fiefs tenus Aspremont, Bâtie-d'Albanais, Bonvillard, Brison, Cevins, le Chatelard, Chevelu, Colliette, la Croix, Cuchet, Divonne, Dullin, la Forest, Grammont, Grignon, La Barre, Loëx, Lucey, Manigod, Murs, Nernier, Pontchy, Pont-de-Beauvoisin, Reano, Rian, Rougemont, Rumilly, Saint-Alban, Saint-Laurent, Sainte-Croix, Somont, Toisinge, Val-d'Isère, Vérel, Villarbasse.
Demeures Apremont, Cuchet, Divonne, La Forest, Rumilly-sous-Cornillon, Somont
Charges Bailli de Bugey, bailli de Faucigny, châtelain en Savoie, conseiller et chambellan du duc de Savoie, ambassadeurs de Savoie, sous-préfet, présidente de l'Académie des beaux-arts, député italien, gentilhomme de l'hôtel du roi, écuyer de l'écurie du roi
Fonctions militaires Gouverneur du château de Chambéry, gouverneur de Nice, lieutenant général dans l'armée d'Italie, maréchal des camps et armées du roi, maréchal de camp, colonel, chef d'état-major de la place de Paris, grand bailli d'épée du pays de Gex
Fonctions ecclésiastiques Abbé de Tamié (1645), grand aumônier de Savoie, abbé de la Trappe de Bellefontaine, aumônier
Preuves de noblesse
Admis aux honneurs de la Cour 1773 et 1787

La famille de La Forest Divonne, anciennement de La Forest, originaire de Savoie, fait partie de la noblesse d'extraction médiévale sur preuves de 1398. Elle fut admise aux Honneurs de la Cour de France en 1773.

Elle compte des membres de la cour des comtes puis ducs de Savoie, des officiers généraux ou encore Louis de La Forest Divonne élevé à la dignité de pair de France en 1827, pairie héréditaire pour sa famille.

Histoire[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

La famille de La Forest (de Foresta)[1] est originaire de Savoie, et elle a pour berceau le château ou maison forte de La Forest, au lieu dit La Foresta sur la commune de Saint-Jean-de-Chevelu près d'Yenne dans la région naturelle du Petit-Bugey dépendant de la Savoie[2]. Au Moyen Âge cette commune était le fief de la famille de Chevelu.

Gustave Chaix d'Est-Ange fait mention de quelques personnages vivants au XIVe siècle mais ajoute que la filiation certaine débute en 1398 en Bugey[3],[4],[5] avec Guillaume de La Forest, damoiseau[6],[7][3],[4],[5],[8], qui est institué châtelain de Rossillon et d'Ordonnaz par lettres patentes du [6].

Sur la clef de voûte d'une chapelle latérale de l'église de ce village sont gravées les armes de cette famille et le chemin passant derrière la maison forte du village (nom local : manoir ou château de Rossillon) porte le nom de chemin de la Forest. Les seigneurs de la Forest resteront châtelains de ce village jusqu'au XVIe siècle.

Citation[modifier | modifier le code]

Le comte Amédée de Foras, auteur de l'Armorial et Nobiliaire de l'ancien duché de Savoie, cite Antoine de La Forest (1444-1499), gouverneur du comté de Nice, ancêtre de la branche de La Forest Divonne[9] : « Le duc Charles Ier de Savoie[10] délivre au seigneur Antoine de La Forest, les patentes suivantes : Considérant la noblesse du lignage, les grandes vertus, la fidélité invincible et la valeur de notre sincèrement cher et féal conseiller, gouverneur de notre personne, Antoine de La Forest, les services éclatants que depuis ses jeunes années, il a rendu d'abord à nos parents, de bonne mémoire, et ensuite à notre mère[11] et à nous, quand jadis, avec elle, nous fûmes violemment pris par le duc Charles de Bourgogne[12], alors que tous les nôtres nous avaient abandonnés... au milieu de la nuit, seul et à pied, il osa nous suivre dans d'âpres montagnes, au travers des milices Bourguignonnes, ne pensant ni aux dangers de lieux et des moments, ni au péril de sa vie. Ensuite par son zèle et ses œuvres diligentes, il a procuré notre délivrance et a fait effectivement rendre la liberté , à nous et à notre mère. Plus tard, nous avons été placés sous son gouvernement; il s'est efforcé de nous former aux vertus et aux bonnes mœurs, avec un tel dévouement que tout ce que nous avons de bon, de qualité et de vertu, nous le devons, après Dieu, à ses soins et à ses œuvres... ».

  • Version historique : « Après la Bataille de Morat (22-06-1476), le duc de Bourgogne, Charles le Téméraire, organise la séquestration de la famille ducale de Savoie. Elle ne doit son salut qu'à la promptitude d'un homme de sa suite »[13].

La branche de La Forest Divonne[modifier | modifier le code]

Gilbert Ier de La Forest épouse Jeanne-Françoise de Symond, veuve de Laurent de Gingins, baron de Divonne.

Les lettres patentes de Louis XV (1749), érigeant la seigneurie de Divonne en comté de La Forest, indiquent que la famille de La Forest « dès le Xe siècle était considérable en Savoie où elle a possédé les premières charges de la cour des ducs de Savoie ». Toutefois Louis de La Roque écrit à ce sujet : Les lettres patentes de Louis XV qui érigent en comté la baronnie de Divonne et quelques autres terres en faveur de Gilbert de La Forest portent que la famille de l'exposant était considérable en Savoie dès le Xe siècle et que les ducs de Savoie accordèrent le titre de comte aux enfants mâles de cette maison qui a eu l'honneur de leur être alliée. Nous voyons là un exemple des exagérations et des inexactitudes qui s'introduisaient dans les motifs des lettres patentes. En effet, loin de remonter au Xe siècle, la maison de La Forest ne parait que dans les actes vers la fin du XIIIe siècle et n'établit sa filiation suivie qu'à partir de 1398. On ne voit pas par les actes connus qu'elle ait été alliée à la maison de Savoie[5].

En 1773, sous le règne du roi Louis XV, Claude Antoine de La Forest-Divonne est admis aux honneurs de la Cour.

Au XIXe siècle, sous la Seconde Restauration, Louis-Marie-François de La Forest Divonne est élevé à la dignité de pair de France (1827-1830) au titre de baron-pair en 1829.

Elle est classée parmi les familles subsistantes de la noblesse française. Elle adhère à l'ANF en 1935[14].

Personnes non rattachées[modifier | modifier le code]

Le comte de Foras, dans son Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie, indique que les La Forest sont mentionnés en Savoie depuis le XIIIe siècle[15]. Ces premiers personnages ne sont, à ce jour, pas rattachés à la filiation prouvée.

L'un des premiers porteurs de ce nom que l'on retrouve dans les documents est Berlion de La Forest. Ce chevalier est témoin de la charte de franchises de Chambéry , accordée par le comte de Savoie Thomas Ier, le jour des ides de [1]. Sicamore de La Forest est mentionné en 1296, il s'agit d'un chevalier, dit père de Guillaume de Lucey[1].

Filiation[modifier | modifier le code]

La famille de La Forest donna les branches suivantes :

Branche de La Forest Divonne

La branche des La Forest Divonne est issue de Gilbert Ier, descendant de Pierre de La Forest (1490-1536), marié à Jeanne-Françoise de Symond, veuve de Laurent de Gingins, baron de Divonne, parents d'une fille unique, Bonne, qui entre chez les religieuses bernardines, et teste en 1663 en faveur de son beau-père, Gilbert Ier, lui léguant la baronnie de Divonne. Le fils de Gilbert Ier, Albert-Eugène de La Forest, est l'auteur de la branche française de La Forest Divonne et le premier à en porter le nom.

La famille de La Forest Divonne fut reçue aux Honneurs de la Cour en 1773[16] et en 1787[17].

Armes et devise[modifier | modifier le code]

Famille de La Forest

Les armes de la famille de La Forest se blasonnent ainsi : De sinople à la bande d'or frétée de gueules[18].

Il s'agit des armes portées lors du tournois de 1348, selon Guichenon

Cimier : une aigle de sable, surmontée d'une « couronne ducale »[18],[19]

  • Devise : Tout à travers[18].

Foras ajoute à ces armes deux pennonceaux rappelant l'héritage des familles de Saumont et Bonivard[18] (cf. ci-après).


Famille de La Forest Divonne

Les armes de la famille de La Forest Divonne se blasonnent ainsi : De sinople à la bande d'or chargée (frétée) de 4 sautoirs de gueules[2],[7]. Chaix d'Est-Ange indique que « la branche aîné enveloppe son écusson d'un manteau de pair de France »[2]

Couronne ducale[2].

Cimier : une aigle éployée de sable[, becquée et armée de gueules], couronnée d'or[2].

  • Support : Deux lions au naturel[2], debout armés et lampassés de gueules.
  • Devise: Tout à travers[2].

Le roi Humbert Ier d'Italie confirme par lettres patentes du l'usage de la couronne ducale pour les membres de la famille de La Forest-Divonne.

Titres[modifier | modifier le code]

  • baron d’Apremont, baron de La Bastie d'Albanais, baron de Divonne[18] (possession d'anciennes baronnies[5]) ;
  • Comte de La Bare, de La Croix, de Verel et Dulin et de Pont-de-Beauvoisin, de Rumilly-sous-Cornillon et de comte de La Bâtie d'Albanais[18] ;
    • Comte de Verel : érection par Charles-Emmanuel, duc de Savoie, des terres de Verel et de Dullin en comté par lettres patentes du 28 février 1594 en faveur de Claude-Charles de La Forest[5],[4] ;
    • Comte de La Croix : érection par Christine de France, duchesse de Savoie, de la seigneurie de la Croix en comté, par lettres patentes du 23 mars 1640 en faveur de François de la Forest sieur de la Barre en Bugey[5],[4] ;
    • Comte de Rumilly-sous-Cornillon : érection par Jeanne Baptiste de Savoie-Nemours, duchesse de Savoie, de la seigneurie de Rumilly-sous-Cornillon, par lettres patentes du 29 octobre 1698, en faveur de François Emmanuel de La Forest, seigneur de Rumilly-sous-Cornillon[5],[4] ;
  • Comte de La Forest, érection par Louis XV de la terre de Divonne en comté de La Forest par lettres patentes de mai 1749 en faveur de Gilbert de La Forest[4],[5] ;
  • Pair de France héréditaire en 1827[20] pour Louis de La Forest Divonne (1765-1838)[7] ;
  • Baron Pair héréditaire sur institution d'un majorat de pairie en 1829 pour Louis de La Forest Divonne (1765-1838)[7].

Charges[modifier | modifier le code]

Guillaume de La Forest, bailli de Faucigny (l'une des six provinces historiques de la Savoie) pour la période de 1441 à 1445[21].

Certains membres ont été châtelains au service des princes de Savoie[22] :

Possessions[modifier | modifier le code]

Liste non exhaustive des propriétés ayant été possédées par la famille de La Forest :

Personnalités[modifier | modifier le code]

Alliances[modifier | modifier le code]

Alliances savoisiennes[modifier | modifier le code]

Les principales alliances dans les États de Savoie de la famille de La Forest-Divonne sont : Biord, Bonivard, de Cordon, du Crest, de Foras, Greyfié de Bellecombe, de Grenaud, de Livron, de Menthon, de Seyssel, de Thoire-Villars, de Viry (1622), etc.[34],[35]

Autres alliances[modifier | modifier le code]

Les principales alliances de la famille de La Forest-Divonne sont : de Somont (1515), de Symons (1655), de Soubeyran (1680), de Borsat (1724), de Rivoire de La Tourette (1751), de Suremain de Flamerans (1769), de Labaig de Viella (1829), de Villeneuve de Vence (1834), Laurent (1837), de Busseul (1841), Pélissa (1849), de Perthuis (1853), de Jouffroy d'Abbans (1853), de Maillé de La Tour-Landry (1857), Nompère de Champagny, de Guignard de Saint-Priest (1865), Le Roux de Puisieux (1873), de Gangnières de Souvigny (1877), Simon de La Rochette (1877), du Roure de Beaujeu (1878), Marescotti-Ruspoli (1887), du Bessey de Contenson (1893), Bertera (1897), Audenried (1890), du Chastel de La Howarderie, de Lévis-Mirepoix, de Lassus Saint-Geniès, de Chabannes (1938), de Forton, Humann-Guilleminot, de La Tour du Pin, de Malherbe (1979), de Montalembert (1983 et 1990), Gardey de Soos, de Boisgelin, de Bouet du Portal, de Carné Carnavalet, de Chérizey, Frotier de La Messelière, de Gontaut Biron, de Javel, Law de Lauriston, Le Fèvre d'Ormesson, Marin de Montmarin, de Noblet d'Anglure, Richard de Soultrait, Robineau de Rochequairie Urvoy de Closmadeucetc.[36],[37],[38]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Létanche 1907, présentation en ligne, p. 32.
  2. a b c d e f et g Chaix d'Est-Ange, 1922, présentation en ligne, p. 324.
  3. a b c d e et f Edmond Révérend Du Mesnil,Armorial historique de Bresse, Bugey, Dombes, Pays de Gex, Valromey et Franc-Lyonnais, d'après les travaux de Guichenon, d'Hozier, impr. de A. Vingtrinier, Lyon, 1872, p. 266 (lire en ligne).
  4. a b c d e f g h i j k l m n et o André Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France, volume 17, 1860, page 184 à 190.
  5. a b c d e f g h i j k et l Louis de La Roque, Bulletin de la société héraldique et généalogique de France, 1886, pages 67-68 (présentation en ligne.
  6. a et b Chaix d'Est-Ange, 1922, présentation en ligne, p. 325.
  7. a b c d e f g h et i Jougla de Morenas, 1939, p. 31.
  8. Philippe Du Puy de Clinchamps, L'ancienne noblesse française en 1955, page 329.
  9. Armorial et Nobiliaire du duché de Savoie, T.II, p.424-425
  10. Charles Ier de Savoie
  11. Yolande de France
  12. Charles le Téméraire
  13. Académie Saint-Anselme, Casa Savoia; Aoste, ed.Umbrto Allemandi, Torino, 1989, p.112
  14. Annuaire de l'ANF, Albédia, Aurillac, 2017, p. 45.
  15. Foras, présentation en ligne, p. 424.
  16. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française-Chapitre Savoie, Robert Laffont, 2007, p.112.
  17. Étienne de Séréville et Fernand de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, p. 584.
  18. a b c d e et f Foras, présentation en ligne, p. 423.
  19. Foras, présentation en ligne, p. 440.
  20. Raoul de Warren, Les pairs de France au XIXe siècle, notice 254, Les cahiers nobles, 1959, réédités en 1999, éditions ICC.
  21. Jean-Marie Lavorel (1846-1926), « Cluses et le Faucigny », Mémoires & documents publiés par l'Académie salésienne, no 11,‎ , p. 213-216 (lire en ligne).
  22. « SA - Comptes des châtellenies, des subsides, des revenus et des judicatures », sur le site des Archives départementales de la Savoie - enligne.savoie-archives.fr (consulté en ), p. 3
  23. Aurélie Jacques, « L'empreinte du passé », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. Base Mérimée.
  25. a b et c Chaix d'Est-Ange, 1922, p. 325 (présentation en ligne).
  26. a et b Foras, lire en ligne, p. 424.
  27. Foras, ...Le duc de Savoie, voulant témoigner à Antoine de La Forest la reconnaissance qu'il lui doit et lui devra perpétuellement égale à la grandeur de ses services, le constitue son lieutenant et gouverneur de la ville et comté de Nice, des comtés de Vintimille, Barcelone, de toute la patrie de Provence et terres adjacentes (lire en ligne), p. 425-426.
  28. Samuel Guichenon, Bresse et Bugey, 2e partie, p.82.
  29. Gregor Zenhäusern Traduction : Danièle Vuilleumier, « Jean de La Forest » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
  30. Foras, lire en ligne, p. 431.
  31. Louis de la Roque, Catalogue des Chevaliers de Malte appelés successivement Chevaliers de l'ordre militaire et hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte, 1099-1890, Alp. Desaide, Paris, 1891, col. 129.
  32. Patrick Bollet, Au cœur de la Grande Guerre - Avec les Lorientais morts pour la France, Ville de Lorient, Les Archives, 2014.
  33. « https://www.ouest-france.fr/bretagne/guingamp-22200/apres-7-ans-guingamp-le-sous-prefet-sen-va-968787 », sur Ouest-France, (consulté le ).
  34. Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie (cf. infra).
  35. Chaix d'Est-Ange, 1922, lire en ligne, p. 327.
  36. Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie (cf. infra), Bottin Mondain, , Annuaire de l'ANF,
  37. Chaix d'Est-Ange, 1922, présentation en ligne, p. 327.
  38. Régis Valette: Catalogue de la noblesse française, éd.Robert Laffont, 2007).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrages généraux[modifier | modifier le code]

  • André Borel d'Hauterive, Annuaire de la Noblesse de France et des Maisons souveraines, vol. 17, Grenoble, Allier Frères, , sur books.google.fr (ISSN 2019-8086, lire en ligne), p. 184-190.
  • Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle (T. XVIII. Fel-For.), t. 10, Évreux, impr. C. Hérissey, , sur gallica (lire en ligne), p. 324-327. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Amédée de Foras et continué par le comte F.-C. de Mareschal, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie, vol. 2, Grenoble, Allier Frères, , sur gallica (lire en ligne), p. 424-441, « La Forest Divonne (de) ». Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, vol. 4, Société du Grand armorial de France, (lire en ligne [PDF] sur palisep.fr), p. 31, « De La Foreste Divonne ».
  • Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, Dictionnaire universel de la noblesse de France, volume 1, 1820, pp. 262- (lire en ligne).
  • Louis de La Roque, Bulletin de la société héraldique et généalogique de France, 1886, pages 67–68 (lire en ligne).
  • Jean Létanche, Les vieux châteaux, maisons fortes et ruines féodales du canton de Yenne en Savoie, t. 20, série 2 (réimpr. 2007) (1re éd. 1907), sur gallica (lire en ligne).
  • [Du Mesnil 1872] Clément-Edmond Révérend Du Mesnil, Armorial historique de Bresse, Bugey, Dombes, Pays de Gex, Valromey et Franc-Lyonnais, d'après les travaux de Guichenon, d'Hozier… les archives et les manuscrits, etc. avec les Remarques critiques de Pl. Collet, Lyon, impr. Aimé Vingtrinier, , 714 p., sur gallica (lire en ligne), p. 266.
  • E. de Séréville et F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 584.

Ouvrages écrits par des membres de la famille[modifier | modifier le code]

  • Albert de La Forest Divonne, La baronnie de Divonne et ses seigneurs (1123-1930), Toulouse, E. Privat, 1930. (OCLC 39259898) (ouvrage familial).
  • Dominique de La Forest Divonne, Maison de La Forest Divonne - Notices généalogiques et historiques, Divonne-les-Bains, 1990, 105 pages (ouvrage familial à compte d'auteur)
  • Charles Vollet, Véronique de La Forest Divonne-Vollet, Luce Wisniewski-De La Forest Divonne, Maison de La Forest Divonne: annuaire généalogique : descendance de Claude-Antoine et de Pierre-François : état présent au 31 décembre 1990, Association Tout à travers, 1991 (ouvrage familial à compte d'auteurs).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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